Brillant

Brillantes

Je me demande comment est-ce que le soleil se leve dans les sabanes, dans les villages avec des maisons faites en adobe, dans les terres desertiques de Burkina Faso et je l’ imagine rouge et lumineux, trés lumineux, en observant la lumiére si speciale sortant des yeux de Pepa, Ilana et Emma tant qu’on parle.
Ilana, Emma et Pepa sont trois jeunes femmes qu’un jour ont choisí abandoner la comodité de ses maisons et pays: EEUU, Ile Reunion (France) et L’Espagne pour travailler ou, plustot cooperer en Afrique.
Emma, Pepa et Ilana se sont connues a Burkina Faso et elles ont une vision de la cooperation eloignée de cette autre, un peu distorsionée que, parfois on peut avoir d’ici. Je veux dire que son travail est de collaboration dans un plan de totale egalité avec les gents du pays. Tant et si bien que Ilana, une experte épidémiologiste et nutritioniste, nous dit que, dans certaines de ses expériences africaines est absolument intégrée en tant que membre de la famille, au point où elle a appris à parler Moré, la langue de l'ethnie Mossi majorité au Burkina Faso, avant le français; elle a dormi en plein air protégé que par une moustiquaire et, parfois, également partagé les pénuries d'eau de la famille africaine. Mais l'un de ses plus grandes satisfactions est que quand une fille est née dans le village un peu plus claire que d'habitude, on l’appele Ilana.
Pepa me dit qu’elle savait toujours ce qu’elle allait faire, quand elle etáit petite et on lui demandait que est-ce qu’elle voulait faire quand elle serait plus grande elle repondait toujours que voulait être missionnaire. Bien qu'il n'a pas été exactement cela, elle ne se trompait pas parce que, bien qu'elle soit une économiste, elle a focalisé son travail sur la solidarité.
L'essence de Emma est un creuset ethnique et culturel précieux, en se plongeant dans ses origines hindous elle est passé du temps en Inde et elle a ensuite décidé de se consacrer à ce qu'elle voulait. Emma a étudié sciences politiques et développe son travail dans le Sud-Soudan. Parfois, en marchant vers sa maison, elle entendait des coups de feu. Au Soudan du Sud on ne peut pas mourir seulement pour manque d'eau et de nourriture mais aussi à cause des balles. Je lui demande si elle avait peur et elle m’a répondu avec une sérénité surprenante que son organisation n’était pas la cible des coups de feu.
Ce que plus mal les fait est de se demander chaque jour, si vraiment, ce qu’elles Font sert a quelque chose.
Oui ça sert. Je vous envie pour votre courage. Merci. Je termine en disant: Vous êtes vraiment brillant.

Traduction de l'article publié dans "La Nueva España", le samedi 21 Janvier 2017 par Mauro Muñiz

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